FRE 231: 300 Level INTRODUCTION TO FRENCH PHONOLOGY
FRE 231: INTRODUCTION TO FRENCH PHONOLOGY
QUESTIONS AND ANSWERS
1. Qu’est-ce que la phonologie? Quelle est. la différence entre phonologie
et la phonetique ?
- La phonologie est la branche
de la linguistique qu’étudie l’organisation
des sons au sein des différente langues naturelles. Elle est
complémentaire de la phonétique qui s’intérèsse aux sons. Alorsque la
phonétique s’intérèsse aux sons comme unités acoustique produites par un
mécanisme physiologique.
2. Distinguez le son du phonème.
-
Un phonème
est la plus petite unite discrète ou distinct que l’on puisse isoler par
segmentation dans la chain parlée. Par
exemple : / r /, / Ʀ /, / ɑ /, / b /, / m /, / t /, / ӄ / etc.
Un phonème
est en realité une entité abstraite, qui peut correspondre à plusieurs sons. On
transcrit les phonèmes par des lettres placées entre des barres oblique / /. Selon la règle, un phonème = un symbole.
Autres
exemples :
phonème /i/ : il
phonème /e/ : blé
phonème /ε/ : colère
phonème /ɑ/ : plat
phonème /o/ : chaud
phonème /k/ : cou
phonème /d/ : dans
sert à désigner les unités sonores du
langage.
Les sons sont des unités acoustiques produites
par un mécanisme physiologique. Les sons s’écrit entre [ ]. Par exemple : été [ete] ;
étais [etɛ] ; dans [dɔn] ; mais [mɛ]
3.
Qu’entendez- vous par la paire
minimale ?
-
Le terme paire minimale désigne deux éléments en opposition
du point de vue phonologique. Les éléments en opposition sont des mots dont le
sens est différencie par un seul phone ou par des éléments prosodiques porte
par un phone. Par exemple : cal
mal ; pal mal ; capot calot ; big pig ; capeau cadeau.
4.
Expliquez les traits distinctifs.
-
Le trait distinctif est un son
qui permet à l’auditeur de distinguer deux phonèmes de prononciation proche. Le
même trait distinctif permet d’opposer une série de phonèmes. On l’appelle
corrélation phonologique.
Par exemple : /b/, /d/,
/p/, /t/
5.
Qu’est-ce que la distribution ?
-
Les unités distinctives
n’auront pas nécessairement une valeur stable. Leur qualité phonétique peut
changer selon l’entourage : on a affaire à des phénomènes de variation
selon leur qualité phonologique. C’est -à- dire
le caractère distinctif peut disparaitre. On a affaire à des phénomènes de
neutralisation.
6.
La dérivation est l’ajout d’un
affixe à un radical.
7.
Les acronymes permettent de
contracter un ensemble de plusieurs items lexicaux en un seul. Par exemple :
BU → Bibliothèque
Universitaire
CAF → Caisse des Allocations
Familiales
C’est pour plus de détaille
sur leur prononciation
8.
La morphologie est la branche de la
linguistique qui étudie les types et la forme des mots en interne ou en
externe. La morphologie observe et analyse les différentes parties d’un mot. La
racine est l’origine du mot ; quand on enlève tous affixes.
9.
Les affixes sont les urates
ajoutées au début ou a’ la fin du mot et ils modifient le sens du mot. ll y
a :
a.
Les préfixes qui se placent au
début. Par exemple : inchangeable
b.
Les suffixes s’écrivent à la fin
Par exemple : inchangeable : in → est
un préfixe
-
Able → est un suffixe
-
change→ est la racine (root)
10.
Les morphèmes sont les unités
de sens les plus petits les mots qui
sont composés des unités de sens.
Alors dans l’exemple : inchangeable, il y a trois morphèmes → in, - change-, -
able. Chaque morphème porte un sens. On
peut diviser les morphèmes en deux groupes – les morphèmes liés (ou dépendants)
et les morphèmes libre (ou indépendants). Les morphèmes liés – able ; les
morphèmes libres- change
11.
Définissez les mots
suivants : la phonétique, la phonologie la morphologie, la sémantique, la
syntaxe, un morphème
a. la phonétique est l’étude des
sons produits par l’appareil phonatoire
b. la phonologie est l’étude des
phonèmes d’une langue donnée
c. la morphologie est l’étude de
la structure interne des mots. C’est l’étude des morphèmes
d. la sémantique est l’étude du
sens des mots et des énonces
e. la syntaxe est l’étude de la
combinaison des mots en phrases
f.
un morphème est le plus petit
élément significatif, isolé par segmentation d’un mot. Par exemple : le
mot
i.
‘’chanteurs’’ est composé de
trois morphèmes : chant (‘’chant’’) – EUR ‘’celui qui fait’’ et – s
(marque du pluriel).
ii.
Couraient compose de :
cour – (‘’courir’’) ; -ai- (marqué de l’imparfait) et - ent (3e personne du
pluriel, ‘ils’)
12.
Que sont les allophones ?
-
Les allophones sont des réalisations sonores
possibles d’un phonème. Contrairement à deux phonèmes entre eux, deux
allophones d’un même phonème ne peuvent s’opposer en distinguant des unités de
sens distincts dans une langue. Les locuteurs leur attribuent le même rôle
fonctionnel en phonologie même quand ils perçoivent la différence phonétique
entre les deux.
Par exemple : / R / est
prononcé dans trois mode : [R], [r] selon leur endroit parmi les autres
sons d’un mot [R].
[R], [r] and [□] sont les
allophones du même phonème. Alors on a :
13.
Quelle est la différence entre
les phonèmes et les allophones
-
L’identification des phonèmes
se fait seulement par la paire minimale. C’est –à -dire quand deux mots de sens
différents se distingue par un seul son. Par exemple : père /pɛӄ/ se
distingue de mère /mɛӄ/ forment une paire minimale qui permettent d’identifier
/p/ et /m/ comme des phonèmes distincts.
Mais, avec des allophones, il
est impossible de construire de telles paires. C’est -à - dire que la
substitution d’un allophone à un autre ne modifie pas le sens du mot. Par exemple :
i.
père se prononce [pɛr], [pɛR]
ou [pɛӄ] les consonnes [r], [R] et [ӄ] sont phonétiquement des sons différents.
Ils sont interprètés comme des variantes de prononciation d’une même unité
phonologique. le phonème / r /
ii.
qui /ki/ se distingue de cou
/ku/ phonologiquement qui [ci], de
cou [ku] phonétiquement.
14.
Qu’est-ce que variante
libre ? / Que veut dire variante libre ?
-
Variante libre est la
possibilité d’utiliser plusieurs allophones sans changer le sens de l’énoncé
Variante est chaque
réalisations des plusieurs formes d’un phonème ou un morphème
Exemple des variantes
libres : [R] en Paris peut se prononcer comme dental [r] ou uvulaire [R]
ou muet [□] alors [R] et [r] sont des
variantes libres du phonème / R/
Le locuteur est libre de
choisir une réalisation ou l’autre. La variante libre est toujours substituable
et commutable. Il s’agit du même mot
mais que l’on écrit ou prononce différemment. La variante libre se distingue du
synonyme.
-
Les variantes conditionnées
sont des allophones qui ne sont pas libres. Leurs distributions sont
régulières. Quelques variantes conditionnées se trouve dans contexte phonétique
et les autres dans un environnent phonétique diffèrent. Telles allophones sont
en distribution complémentaire. Par exemple : le phonème /s/ se prononce
[z] s’il se trouve entre deux voyelles mais il se prononce [s] dans des autres contextes.
Allophones en distribution complémentaire
15.
Phonétiques et phonologie.
Quelle est la différence ?
-
L’étude phonétique d’une
langue peut se faire sans faire appel au
sens. On pourrait étudier les caractéristiques phonétiques d’une langue qu’on
ne comprenait pas.
-
Par contre, la phonologie
s’occupe de la fonction des sons dans la transmission d’un message. Il faut
donc comprendre une langue pour faire de la phonologie en d’autres termes. La phonologie recherche les différences de
prononciation qui correspond à des différences de sens, ce qu’on appelle des
oppositions distinctives. Mais les
changements de prononciation ne changent pas le sens.
16.
Écrivez sur les traits
distinctifs.
-
Lorsque deux phonèmes
s’opposent entre eux, il est possible d’identifier les traits distinctifs
qu’elles opposent. Par exemple : dans le cas de l’opposition entre /p/,
/t/, /k/ d’une part et /b/, /d/, /g/ d’ autre part,
la présence ou absence voisement est le trait distinct qui nous permet
de situer les deux classes. En français, le trait distinctif arrondissement est
utilisé pour distinguer /i/ et
/y/ ; /e/ et /ø/ ; /e/ et /œ/. Mais ce trait n’est pas utilisé
par l’anglais. Les traits distinctifs utilisés par les français sont :
-
Le voisement (Voice versus non
voise)
-
La nasalité (oral versus
nasal)
-
L’antériorité (antérieur
versus postérieur)
-
L’arrondissement (arrondi versus
non-arrondi)
-
Les différents lieux
d’articulation
17.
Que veut dire réactions
phonologiques dans la chaine
-
En tant que entré humaine,
nous parlons par chaine de sons. Alors,
il se fait dans ces chaines une certaine normale réaction purement physique. Il
se fait aussi des réactions qui tiennent compte de la structure de la langue.
Ceux-ci sont classés sur phénomènes phonologiques, y compris : l’élision,
l’enchainement et la liaison.
18.
Quelles sont les différences
entre l’élision, la liaison et l’enchainement
a. L’élision : En français,
chaque voyelle donne une syllabe. En principe là ou deux voyelles entrent en
contact dans la chaine parlée. Le résultat est deux syllabes. Alors, dans le cas d’une voyelle en particulier
le ‘e’ muet /ǝ/, ce n’arrive pas. Devant
une voyelle, le ‘e’ muet disparait. La
chute ou l’élimination du ‘e’ muet
devant une voyelle s’appelle l’élision. Elle se fait systématiquement en
français. Par contre, il existe d’autre
cas d’élision beaucoup moins systématiques. Par exemples
1. Le livre : i - □ – l – i – v – Ʀ - □ ------- l - □ – l –i – v – Ʀ
2.
Le un et le autre → l’un et
l’autre
L - □ – œ – e – l □ – o – t –
Ʀ - □ ---- l – œ – e- l
Dans ces exemples, le muet à
la fin du livre est éliminé comme le □ de le and le □ de l’autre
3.
Enfant [ãfã] (le t est éliminé).
4.
Les étudiants [lez et
djã] (les 5 et st ne se prononce pas
parce qu’ils sont éliminé)
5.
Si ils [s-i-l] [le i du si est
éliminé]
6.
La alliance [l’alias] → / l –
a – l – j – a – s / (le a de la est éliminé)
b. L’enchainement : En
français, il y a une préférence pour les syllabes ouvertes. Alors, on
divise la suite VCV comme V CV et non
pas VC V. Si deux mots se trouve en
contact dans la chaine parlée et si le premier finit par une consonne et
l’autre commence par une voyelle, on déplace la frontière entre les syllabes.
C’est ce qu’on appelle l’enchainement.
Par exemple : une petite amie -------- / yn –p □ – ti – ta – mi/
Une petite sœur -------- / ynpǝtitsœƦ/
Dans le premier exemple,
on trouve une consonne a la fi du premier mot. Dans ce cas, la division en
syllabes se fait de la façon suivante / yn – pǝ – ti – ta – mi/. Ici, on
déplace la frontière syllabique à gauche alors que dans le deuxième cas, (une
petite sœur), on trouve une consonne à la fin de petite et une autre a début de
sœur. Donc, la division en syllabes se fait entre les de mots, selon la
structure VC CV
Autres exemple : une belle amie- - [ɥnbɛlami]
une
telle affaire -------- [ɥntɛlɑfɛƦ]
c. La Liaison : Dans le cas de
l’enchainement, il y a déplacement de frontières syllabiques, mais le nombre
total de phonèmes reste le même. Par contre, dans la liaison, on retrouve des
ajustements qui change le nombre de phonèmes selon le contexte.
Par exemple :
1.
Ils ont / ilz□/
2.
Trois heures /tRwazœR/
3.
Ont-ils /□ til/
4.
Sept heures trois /sɛtœRtRwa/
Dans les exemples, en (1), on trouve la consonne
/z/ entre deux mots, tandis que cette consonne fait défaut dans les exemples en
(2). En outre, la où la consonne est présente la frontière syllabique se
déplace : on prononce / il – z – ɔ /. Une consonne comme le /z/
s’appelle une consonne de liaison. Elle se manifeste dans certains contextes a
l’intérieur d’un group mais non pas dans d’autres (à la fin d’un groupe). Par exemple :
i.
L’emploi d’une consonne de
liaison est une indication de dépendance dans un groupe. Un élément qui dépend
d’une autre, comme un pronom personnel, qui dépend du ver ou un déterminant,
qui dépend du nom, fera la liaison av l’élément suivent, si cet élément suivant
commence pa une voyelle. Dans les cas pareil, on parte de liaison obligatoire
la liaison obligatoire est le cas oïl un élément qui dépend du verbe, un
déterminant, un nom fera la liaison avec l’élément suivant par une voyelle. Par
exemple : ils ont / ilz □/
ii.
Un élément qui ne dépend pas
d’un autre ne fera pas la liaison avec l’autre. Par exemple :
1.
Jean attend /□ãatã/
2.
Un soldat arme /œs□ldaaRme/
Dans le premier cas le, nom jean ne dépend pas
du verbe attend, et la liaison ne se fait pas. De même, dans le deuxième
exemple, le nom soldat ne dépend pas de l’adjectif terme là encore, la liaison
ne se fait pas. Dans les cas pareils, ou un élément supérieur ne peut pas
entrer en liaison avec un élément dépendant, on parte de liaison impossible
iii.
Entre les deux extrêmes, on
trouve une série de cas ou la liaison peut se faire ou non. En principe, on
fait la liaison plus souvent dans le discours poétique, officiel ou soigne et
moins souvent dans le discours familier e quotidien. Dans ces exemples ci,
il y
a deux prononciation possibles
Je suis allé /□□syizale/ ou
/□□syiale/
(liaison) (pas
liaison)
On appelle cette liaison
facultative.
19.
Que veut dire l’accent dans un
langage?
-
Quand on parle, on utilise en
général des suites ou des chaines de sons. Dans le cas de chaque son, il y
a un certain nombre de paramètres ou
caractéristiques qui peuvent varier. Par exemple, essayez de prononcer :
[ɑ ɑ ɑ ɑ ɑ ɑ ]. Puis, essayez d’insister sur le deuxième [ɑ] notez qu’il y
a plusieurs façons de le faire.
On peut mettre plus de force sur la voyelle que sur les voyelles qui
l’entourent. En d’autres termes, il
y a plus d’air qui sort des poumons et une plus
grande vibration des cordes vocales. Ou bien, on peut augmenter la fréquence de
sa voix. Dans ce cas, les cordes vocales vibrent plus rapidement. Ou bien
encore, on peut mettre plus de durée sur la voyelle qu’on vent mettre en
valeur, dans le sens que la syllabe formée par la voyelle dure plus longtemps
que les autres.
Très souvent, les trois
facteurs (force, fréquence et durée) coexistent dans un même cas. Il existe,
cependant, des préférences particulières à chaque langue. Le français, par
exemple, a tendance à utiliser la durée plus que les autres facteurs, selon les
mesures instrumentales par conséquence, si on vent imiter un ‘’accent
français’’ il faut surveiller la durée des syllabes qu’on accentue
a.
Combien d’accents y – a – t –
il dans la langue français
-
Dans la langue française,
il y
a deux accents : l’accent final et l’accent d’insistance.
-
L’accent final : il y a
des langues ou la place de la syllabe accentuée varie d’un mot à l’autre.
Ainsi, e anglais, on distingue ‘import
(un nom) d’emport (un verbe). Notez qu’on indique l’accent par un petit
trait vertical avant la syllabe accentuée. Par contre, en français la place de
l’accent varie selon le groupe et non pas selon le mot. Par exemple :
i.
La fille [ la’fij ]
b.
La petite fille [ la p□tit’
fij ]
c.
La petite fille malade [ la
p□tit’ fij ma’lad ]
Notez que l’accent tombe toujours sur la
dernière syllabe du groupe. On l’appelle l’accent final. C’est cela qui
explique pourquoi les non-francophones ont parfois des difficultés à identifier
les mots en français. Ma quelle est la nature de ce groupe ?
Autres exemples :
a.
Il aime regarder la téléviSION
b.
Je finirai le devoir deMAIN
c.
Les étudiants sont fainéants
i.
L’accent d’insistance :
il existe deux sortes d’accent en
français : l’accent final et l’accent d’insistance. L’accent d’instance se
marque par une montée de fréquence de la voix, phitot que par une durée
supérieure. Par exemple :
ii.
C’est pas sur la table, c’est sous la table.
[sɛpɑ ‘syr la ‘tabl sɛ’su la
‘tabl]
iii.
Moi, je trouve ça inacceptable
[mwa □ □ t Ruv sa ‘ ʼinɑksɛp
‘tabl]
Dans ces exemples, l’accent final est sur la der
mère syllabe tabla lorsque l’accent d’insistance tombe sur sur, sous et i
respectivement.
20.
a. Qu’est – ce que l’intonation ?
b.
Quelles sont les
caractéristiques de l’intonation française ?
a.
L’intonation :
L’intonation est une autre caractéristique de la voix qui varie dans la chaine. C’est la fréquence
relative de la vibration des cordes vocales. L’étude de l’intonation est compliquée
par le grand nombre de variations possible quand on parle. Ainsi on peut
transmettre une grande diversité d’émotions par de petites différences
d’intonation
b.
Les caractéristiques de
l’intonation française ?
On constante qu’il existe un
petit nombre de paramètres qu’on peut identifier et décrire objectivement.
D’abord, il est possible d’identifier un certain nombre de niveaux d’intonatif
par exemple, à la fin d’une phrase déclarative, intonation a tendance à tomber.
Par exemple, en prononçant : ‘’J’ai vu pierre dans la rue’’ la fréquence
de la voix baissera sur la demeure syllabe. On peut représenter cette fréquence
de finalité par un chiffre (1) par contre, il existe aussi une intonation de
base qu’on entend au début d’une phrase déclarative. On la représente par le
chiffre (2). En outre chaque groupe rythmique avant la fin d’une phrase
déclarative porte une intonation de continuité, qui signale qu’il y a
autre chose qui suit. On représente cette intonation par le chiffre (3). En
combinant tout cela, on constate qu’on peut représenter la phrase précédente a
la façon suivante ou le chiffre qui indique l’intonation se trouve avant la
syllabe ou on trouve cette fréquence, et où il faut imaginer des courbes entre
les chiffres
Les niveaux d’intonation qui
caractérisent les questions, les exclamations et les phrases impératives. Par
exemples
a.
Intonation déclarative : i) Déclarative
courte (intonation tombant)
-
Je mange du riz
-
Nous allons à l’école
-
Il est nigérian
-
Maman viendra demain
ii.
Déclarative longue (intonation
montante et tombante)
-
S’il pleut, je ne sortirai pas
-
Les animaux dans la foret sont
sauvages
-
Le vice chancelier de
l’université est une femme
-
J’étudie le français a
l’université covenant
b.
Information exclamative s’agit
d’une tombante soudaine d’une voix
-
Quelle bonne idée !
-
Oh là là l
-
Comme elle est belle !
-
Quel mauvais sort !
c.
Intonation impérative est
comme l’intonation exclamative tombante soudaine à la fin
-
Donnez – moi de l’argent
-
Ouvre la porte
-
Allons à la maison
-
Viens ici
A.
Intonation interrogative : oui ou non
questions s’agit de montante soudaine de l’intonation a la syllabe finale e.g.
-
Vous êtes Nigérian ?
-
Est- il est le président de
l’association ?
-
Est – ce qu’il est
étudient ?
-
Tu prends de la bière ?
B.
Les questions informatives
commencent avec une intonation sur des expressions ci – dessous avec la voix en
tombant lentement
-
Où
-
Pourquoi
-
Comment
-
Quand
-
Qu’est – ce que
-
Quel etc.
Par exemples
-
Comment vous appelez –
vous ?
-
Quand est-ce que tu es
arrivé ?
-
Qu’est- ce que vous –
voulez ?
-
Ou se trouve le Togo ?
C.
Quelle est la différence entre
la phonologie et la phonétique
-
La phonologie est la branche
de la linguistique. Elle étudie l’organisation des sons oui sein des
différentes langues naturelles. Elle est complémentaire de la phonétique tandis
que la phonétique s’intéresse aux sons eux-mêmes, indépendamment de leur
emploi. La phonétique s’intéresse aux sons en tant qu’unités acoustiques
produites par un mécanisme physiologique, la phonologie, aux sons en tant
qu’éléments d’un système.
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